Sarah Bernhardt, monstre sacré

10.3 – 5.4.20

Excusez-moi

Pierre Miserez
28.4 – 24.5.20

Les Minuscules (Jeune public)

Roald Dahl
3.6 – 7.6.20

Les 3 Baisers du Diable

Jacques Offenbach
30.10 – 25.11.18

Molière-Montfaucon 1-1

Lionel Frésard
4.12 – 16.12.18

Central Park West

Woody Allen
22.1 – 17.2.19

Hamlet Cirkus

William Shakespeare
19.3 – 14.4.19

Joli Foutoir

Les Muskatnuss
7.5 – 2.6.19

Une fusée pour Pépé

Aude Bourrier
19.6 – 23.6.19

Quadrille

De Sacha Guitry
26.9 – 22.10.17
Théâtre | Portrait d'une légende | Création

Elle était une femme des années 80, mais des années 1880 ! Une femme qui s’est élevée au rang de monstre sacré et dont la vie est une profession de foi en soi.

SPECTACLE ANNULE jusqu’à nouvel ordre pour cause d’épidémie Pour en savoir plus…

 

du mardi au samedi à 20h – dimanche à 18h – relâche lundi – durée : 1h05

Théâtre | Portrait d’une légende | Création

Elle était une femme des années 80, mais des années 1880 ! Une femme qui s’est élevée au rang de monstre sacré et dont la vie est une profession de foi en soi.

« J’ai une envie folle de voyager, de voir autre chose, de respirer un autre air ! ». Ainsi parlait Sarah Bernhardt, la Nicole Kidman des années 1880 ! Une femme d’une liberté inimaginable, née dans un monde corseté et dont elle n’a cessé de repousser les limites. D’abord en interprétant des figures mythiques telles que Froufrou, Phèdre ou la Dame aux Camélias, ensuite en faisant des tournées triomphales en Europe et aux États-Unis. Pour elle, Jean Cocteau a inventé le terme de monstre sacré.

À travers le portrait de cette figure féminine unique en son genre, Marie Probst et Pascale Vachoux imaginent ce qu’on est en droit d’appeler un biopic théâtral, comme on l’entend au cinéma. En se basant sur ses lettres d’amour, ses monologues les plus célèbres, quelques croustillantes anecdotes et des regards plus contemporains commandés à Julie Gilbert et Ludovic Chazaud, elles seront tour à tour narratrice et Sarah Bernhardt. Deux actrices qui vont se dédoubler pour brosser un portrait croisé, aussi foisonnant que fourmillant de pistes, sur la première star du milieu théâtral.

«Personnage fabuleux, légendaire. Incomparable actrice, absolument géniale. Je dirais même plus, géniale à volonté. » Sacha Guitry

 

DANS LA PRESSE
« Un mythe revit à Cologny » Tribune de Genève du 12.03.20 > ici

Mise en scène Anne-Shlomit Deonna
Conception et jeu Marie Probst et Pascale Vachoux
Textes additionnels Julie Gilbert et Ludovic Chazaud
Scénographie Florian Cuellar
Lumières Claire Firmann
Musique Simon Aeschimann
Vidéo Daniel Cousido
Costumes Marion Schmid
Maquillage Arnaud Buchs
Administration Béatrice Cazorla
Coproduction Compagnie de l’Imaginaire Poétique et Le Crève-Cœur

Remerciements : Fondation Johnny Aubert-Tournier – Maisons Mainou

One man show | Humour | Accueil

Homme-orchestre à lui tout seul, Pierre Miserez a fait du one man show un art de vivre, tout en portant haut le verbe et l’humour jurassiens. Alors ne vous cherchez plus d’excuses !

One man show | Humour | Accueil

Homme-orchestre à lui tout seul, Pierre Miserez a fait du one man show un art de vivre, tout en portant haut le verbe et l’humour jurassiens. Alors ne vous cherchez plus d’excuses !

Il fait partie des derniers boute-en-train du pays. Un Jurassien – comme Lionel Frésard reçu l’an passé – clown un rien décalé et qui monte sur scène pour s’excuser d’être Suisse ! Fidèle à lui-même hâbleur, bonimenteur, chanteur aussi, vêtu de son inénarrable marinière helvète – il est cet hypocondriaque sclérosé par ses maladies imaginaires, avant d’enfiler les personnages comme autant de perles : clown, concierge, professeur ou fanfare à lui tout seul.

Avec un rien, il nous fait rire. Et avec un peu plus, il nous colle des frissons quand il se met à escalader des échelles flageolantes , il nous étourdit avec son numéro d’assiette chinoise, nous émeut avec son tube Ma femme a foutu le camp ou nous plonge dans des angoisses mystiques aussi personnelles qu’universelles.

Lui qui finit par se dépeindre comme un vieux gâteux de maison de retraite a le verbe facile et la sentence qui fleure bon l’élixir de jeunesse : « C’est si bon quand on se sent vieillir sans trop s’aigrir. » Surtout quand il peut s’accompagner à la trompette, à la clarinette ou à l’accordéon.

Entre nous, il est tout excusé.

« À voir absolument, ne serait-ce que pour rire, car c’est du sérieux. » Le Quotidien jurassien

Auteur et interprète Pierre Miserez
Mise en scène Jean-Luc Barbezat
Scénographie Natacha Jaquerod
Lumières Philippe Maeder
Sonorisation Alain Roche
Production Pierre Miserez

Spectacle tout public dès 5 ans

Un texte de Roald Dahl, génie britannique en matière de littérature pour enfants, avec une merveilleuse Paola Pagani en narratrice d’un conte venant faire écho aux aventures de Tom Pouce et Nils Holgersson.

SPECTACLE ANNULE pour cause d’épidémie Pour en savoir plus…

 

Spectacle tout public dès 5 ans

Un texte de Roald Dahl, génie britannique en matière de littérature pour enfants, avec une merveilleuse Paola Pagani en narratrice d’un conte venant faire écho aux aventures de Tom Pouce et Nils Holgersson.

Petit Louis est un enfant curieux, très curieux, et irrésistiblement attiré par les interdits de la Forêt défendue ! Une fois entré, il se fait évidemment course-poursuiter par l’horrible Goinfrognard, cracheur de fumée rouge, prêt à le faire griller dans son ventre-rôtissoire. Pour le distancer, Petit Louis va s’enfoncer au plus profond de la forêt et rencontrer le peuple des Minuscules, résidant des arbres géants. Le début d’une merveilleuse aventure.

Mise en scène Paola Pagani et Iria Diaz
Jeu Paola Pagani
Scénographie et lumières Michel Faure
Costumes Verónica Segovia
Production, communication et diffusion Laura Cavalleri

Opérette fantastique | Création

Préfigurant avec brio Les Contes d’Hoffmann, cette opérette fantastique rivalise de gaieté et de drôlerie pour dresser un tableau ironique et diabolique du monde d’aujourd’hui.

Opérette fantastique | Création

Préfigurant avec brio Les Contes d’Hoffmann, cette opérette fantastique rivalise de gaieté et de drôlerie pour dresser un tableau ironique et diabolique du monde d’aujourd’hui.

C’est une pièce gaie, légère et enlevée de Jacques Offenbach. Enchaînant d’abord avec griserie couplets et chansons à boire, cette œuvre s’engage ensuite avec ivresse dans un mélodrame ensorcelant : Les Trois Baisers du Diable.

Pour sauver son âme, Gaspard a conclu un pacte avec le Diable : il devra arracher trois baisers et dévoyer la belle Jeanne s’il ne veut pas voir son âme offerte à Satan. Pour contrer Gaspard, le candide Georget, secrètement amoureux lui aussi, réussira t-il à sauver Jeanne des griffes du mal?

Gaspard contre Georget. Le bien contre le mal. Ce combat est vieux comme le monde, mais indéniablement empreint d’histoires.

Sous la direction de Benjamin Knobil, cette opérette fantastique et facétieuse se transfigure en théâtre-musical fantastique, servie par un quatuor de chanteurs-comédiens de choc.

Du XIXème siècle à nos jours, c’est une pièce en un acte où la dimension sociale est toujours autant d’actualité, mais où la misère se pare de nouveaux oripeaux. À chacun, dès lors, de découvrir où se cache le diable aujourd’hui !

Ce soir, nous nous divertirons. Gaspard

Du mardi au samedi à 20h – Dimanche à 18h – Relâche lundi
Durée : 1h20

> Ecouter l’interview du metteur en scène Benjamin Knobil – Nectar, Espace 2  > ici
> Lire
la critique Le Courrier > ici
> Lire la critique La Tribune de Genève > ici

 

 

Coproduction Cie Nonante-trois et Le Crève-Coeur

Mise en scène Benjamin Knobil

Direction musicale et collaboration artistique Francesco Biamonte

Avec Francesco Biamonte, Eva Fiechter, Nasma Moutaouakil et Salvatore Orlando

Piano et arrangements Jacopo Raffaele

Lumières Estelle Becker

Scénographie Jean-Luc Taillefert

Costumes Anne Marbacher

One man show | Accueil

Dans une mise en scène de Thierry Romanens, l’humoriste jurassien Lionel Frésard nous livre une histoire de vie. De plusieurs vies, en fait. Les siennes.

One man show | Accueil

Dans une mise en scène de Thierry Romanens, l’humoriste jurassien Lionel Frésard nous livre une histoire de vie. De plusieurs vies, en fait. Les siennes.

Avant, il a été cuisinier, garçon boucher, patron de bistrot, footballeur amateur au club de Montfaucon. Mais ça, c’était avant.

Aujourd’hui, Lionel Frésard apparaît « seul en scène » dans un spectacle à l’intimité mordante, où il jongle entre foot et théâtre, les basses ligues d’un côté, Molière et Shakespeare de l’autre. Entremêlant ses deux passions, il a dernièrement été récompensé par le Prix suisse de l’humour SSA 2017.

Enfant des Franches-Montagnes, il ne triche pas avec son passé et endosse tous les personnages de son spectacle : du boucher margoulin au prof hypermaniéré du Conservatoire, de Gérard son copain un rien perché au « Chaume » l’entraîneur qui l’a initié aux planches. Ses portraits sont taquins, câlins, mais toujours profondément humains.

Hommage aux racines en même temps qu’ode au théâtre, Frésard doit être à ce jour l’unique acteur à pouvoir revisiter Molière en jouant des claquettes avec des godasses de foot, tout en cuisinant le fameux sandwich indien qu’il servait au Café Central de Saignelégier ! Une sacrée performance.

C’est sa propre histoire, mais ce n’est jamais narcissique. (…) C’est du stand up, mais aussi du théâtre. La Gruyère

Du mardi au samedi à 20h – Dimanche à 18h – Relâche lundi

Coproduction Cie Extrapol et US Montfaucon

De et avec Lionel Frésard

Mise en scène Thierry Romanens

Texte Lionel Frésard et Thierry Romanens

Lumières Jérôme Bueche

Scénographie, costumes Coline Vergez

Son Pascale Schaer

Conseiller dramaturgique Camille Rebetez

Collaboration artistique Martine Corbat et Laure Donzé

Administration Alice Kummer

Comédie | Création

Dans cette comédie grinçante et violemment clairvoyante, Woody Allen s’attaque à la complexité des rapports humains et nous offre un déballage de vies privées. Un Festen new-yorkais.

Comédie | Création

Dans cette comédie grinçante et violemment clairvoyante, Woody Allen s’attaque à la complexité des rapports humains et nous offre un déballage de vies privées. Un Festen new-yorkais.

Avec Central Park West, Woody Allen débusque ses contemporains à travers des dialogues désopilants et des situations aussi absurdes que cauchemardesques. À dire vrai, le génie lunetteux et pince-sans-rire, maître incontesté de l’aphorisme et de la phrase assassine, semble le dépositaire des états d’âmes de la bourgeoisie new-yorkaise.

Ici, on se retrouve dans l’appartement des Riggs. Phyllis, brillante psychanalyste, vient de se faire plaquer par son mari et découvre par la même occasion qu’il entretient une liaison depuis plusieurs années avec sa meilleure amie Carol. L’arrivée de celle-ci va être l’occasion d’un violent règlement de comptes qui va se compliquer par un déballage conjugal sordide quand les deux maris vont pointer le bout de leur nez.

C’est un vaudeville à la trame antédiluvienne, construit autour de toutes les obsessions de l’auteur : sexe, relations de couple et petites névroses ordinaires de la vie à deux, où intimité et infidélité font rarement bon ménage. Attention, le miroir est troublant. Et le rire tranchant.

De ce canevas vieux comme le monde, Woody Allen crée du vif, de l’inattendu. Le Figaro

Du mardi au samedi à 20h – Dimanche à 18h – Relâche lundi
Durée : 1h20

> Ecouter l’interview du metteur en scène Didier Carrier – Radio Vostok > ici

> Lire l’article – Blog La Pépinière  > ici

 

 

Coproduction Cie Théâtre du Solitaire et Le Crève-Coeur

Traduction française Jean-Pierre Richard et Benoît Lavigne

Mise en scène Didier Carrier

Avec Isabelle Bosson, Nathalie Boulin, Léa Déchamboux, Juan Crespillo, Didier Carrier

Lumières Jean-Michel Carrat

Scénographie Mathias Brügger

Costumes Giulia Muñiz

Coiffure et maquillage Katrine Zingg

Tragi-comédie | Création

Revisité avec humour, suspense et fantaisie, le mythe d’Hamlet vient nous surprendre et nous chatouiller là où l’on ne s’y attend pas. Sur les traces de son histoire, le spectateur assiste à une véritable enquête.

Tragi-comédie | Création

Revisité avec humour, suspense et fantaisie, le mythe d’Hamlet vient nous surprendre et nous chatouiller là où l’on ne s’y attend pas. Sur les traces de son histoire, le spectateur assiste à une véritable enquête.

Est-ce qu’Hamlet est un clown ? Un équilibriste, un bonimenteur ? Une star au destin funeste ? Un prince mal doté qui trimballe ses baskets sur les fils d’une tragédie drôlatique ? Et si Gertrude, sa mère, n’était pas l’éternelle vamp’ égoïste et manipulatrice digne reine d’un royaume glacé, mais une femme, tout simplement débordée par les évènements ? Et si Ophélie enivrée de fleurs mélancoliques, ballerine légère traversée de visions, dialoguait avec les fantômes du théâtre comme s’ils étaient de vieux amis ?

De reconstitutions en flash-back, témoignages, confessions, déballage familial, révélations chocs, mensonges et tours de passe-passe, baratin et magic tricks, deux acteurs tout-terrain bousculent les classiques. Car si « Être ou ne pas être » reste l’interrogation majeure, Camille Giacobino propose une version qui ne se gêne pas d’emprunter ici au genre policier, là à la magie circassienne, et d’entremêler le rire et la tragédie.

Tirer les ficelles de l’humour en plein cœur du drame, c’est là tout le grand art de Shakespeare !

Et si Hamlet n’était pas le héros romantique et tragique que l’on pense ?

Du mardi au samedi à 20h – Dimanche à 18h – Relâche lundi

Coproduction Cie Opus Luna et Le Crève-Coeur

Mise en scène Camille Giacobino

Avec Alexandra Tiedemann et Frédéric Polier

Lumières Danielle Milovic

Scénographie Florian Cuellar

Son Graham Broomfield

Costumes Nathalie Egea

Maquillage Arnaud Buchs

 

> Lire l’interview de Camille Giacobino – Tribune de Genève > ici

> Ecouter l’interview de Camille Giacobino – Nectar RTS  > ici

> Lire la critique – La Pépinière > ici

Cabaret musical | Accueil

Chanteuses, musiciennes et comédiennes, les Muskatnuss chantent la folie du monde et nous offrent un spectacle-concert virevoltant où se côtoient, dans une playlist de haute volée, Sarclo, Juliette ou Nino Ferrer.

Cabaret musical | Accueil

Chanteuses, musiciennes et comédiennes, les Muskatnuss chantent la folie du monde et nous offrent un spectacle-concert virevoltant où se côtoient, dans une playlist de haute volée, Sarclo, Juliette ou Nino Ferrer.

Réunies autour d’un caddie de supermarché, elles sont trois drôles de dames à chanter le monde qui ne tourne pas si rond, à entonner joyeusement la folie de la consommation et à susurrer de belles mélodies sur l’humanité qui dérive.

En s’appuyant sur un répertoire qui fait la part belle aux chansons à textes, les Muskatnuss s’en donnent à cœur joie et n’ont pas la langue dans leur poche.

Jouant de plusieurs instruments, elles sont tour à tour duo, trio ou solo accompagnées d’un nano orchestre, pour un concert qui varie les genres, mais pas le registre. Sur scène, les Muskatnuss s’accompagnent d’un unique « chariot à commi’ », un symbole de consommation qui fait aussi office de caddie-vélo, de caddie-sofa ou de caddie-batterie.

C’est un Joli foutoir mais aussi un pur moment de vie qu’elles pimentent de cocktails explosifs tels le Tequila-Tagada, le Cachaça-Ricola ou le renversant Muskatnuss-Pamplemousse !

Dans mon p’tit bar qui paye pas d’mine / C’est le défilé des vedettes / Je crois qu’j’ai trouvé la combine / Chaque jour une nouvelle recette.

Rhum Pomme, Juliette

Du mardi au samedi à 20h – Dimanche à 18h – Relâche lundi
Durée du spectacle : 1h15

A LIRE Tribune de Genève – 9 mai 2019 – Les Muskatnuss assaisonnent leur virtuosité d’irrévérence. Épicé! > ici

Coproduction Cie InVerso et Théâtre des Amis

Mise en scène Annik von Kaenel

Jeu, chant, musique Nadège Allaki, Isabel Maret, Sophie Solo

Collaboration musicale Levon Maret

Arrangements Muskatnuss et Levon Maret

Lumières Dorothée Lebrun

Scénographie Eric Faugeron

Costumes Chloé de Senarclens

Accueil | Jeune public | NOUVEAU !

Invitées d’un congrès d’astronomie, les professeures Lunatik et Van der Planet se font interrompre en pleine conférence par le coup de fil d’un enfant en détresse : son grand-père vient de partir au ciel !

A 17h00 / Tout public / dès 4 ans / 45 minutes / Hors abonnement

Invitées d’un congrès d’astronomie, les professeures Lunatik et Van der Planet se font interrompre en pleine conférence par le coup de fil d’un enfant en détresse : son grand-père vient de partir au ciel !

Branle-bas de combat ! Afin d’aller le récupérer, Lunatik et Van der Planet ont vite fait de troquer leurs bermudas pour des combinaisons de spationautes, et les voilà parties dans l’infiniment grand à la recherche de l’infiniment précieux. 
Planeètes en bonbon, constellations animalières, boucles spatiotemporelles ou encore extraterrestres, l’univers leur reéserve bien des surprises. C’est l’occasion pour la Cie Pierre Caillou d’expliquer, avec des mots simples et des formules alambiquées, quelques lois qui font tourner le monde.

« Dans toutes ses créations, la Cie Pierre Caillou tente de répondre à des questions d’enfants par des réponses de rêveurs. »

Écriture  et mise en scène Aude Bourrier
Avec Christina Antonarakis, Aude Bourrier, Carole Schafroth (en alternance)
Scénographie Samantha Landragin
Univers sonore Pierre Vonnet

www.pierre-caillou.com

Je t’aime, moi non plus. En choisissant de mettre en scène Quadrille de Guitry, Georges Guerreiro déballe le chantage amoureux sur la scène du Crève-Cœur. Une pièce qui résonne ici presque comme une évidence !

Durée du spectacle : 1h25

Au moment où Philippe de Morannes, rédacteur en chef d’un grand quotidien, se décide à demander la main de Paulette, une comédienne dont il est l’amant depuis six ans, celle-ci succombe aux charmes d’une vedette hollywoodienne. Pour se venger, Philippe tente de séduire Claudine, sa consoeur journaliste et accessoirement meilleure amie de Paulette…

Créée en 1937 par le maître du boulevard français, Quadrille, quatre-vingt ans plus tard (à une semaine près !), n’a pas pris une ride de texte ! Dans cette histoire de jalousie et de tromperies, les répliquent claquent et les bons mots fusent comme autant de punchlines qui font mouche, car Guitry sait nous placer au cœur des relations humaines : là où ça tangue, là où ça fait mal, là où chaque trahison nous enfonce un peu plus profond dans le déni de réalité .

Danse de bal ou de salon à l’origine mettant en scène différentes paires de danseurs, le quadrille est ici le prétexte à des valses de mots virtuoses et à quelques pas qui sonnent comme autant d’embûches et de traquenards. Car sous l’apparente légèreté de cette danse des sentiments, c’est toute la comédie des ballets amoureux qui s’emballe dans un tourbillon effréné.

A force de changer de femme, on finit par changer soi-même ! Sacha Guitry

Lire l’article « Quand le harcèlement passait pour plaisant au théâtre » de Thierry Sartoretti – 17.10.17 – RTS Culture > ici

Écouter l’émission du 16.10.17 « Vertigo » sur RTS1 > ici

Voir l’émission du 5.10.17 « Les yeux dans les yeux » sur Léman Bleu avec Vincent Babel > ici

Co-production Cie Baraka & Le Crève-Coeur

Mise en scène Georges Guerreiro

Collaboration artistique Marie Druc

Jeu Vincent Babel, David Casada, Marie Druc, Camille Figuereo

Lumières Jonas Bülher

Maquillage Katrine Zingg

Costumes Marina Shariy

Scénographie Georges Guerreiro

Construction décors Pietro Musillo

THÉÂTRE LE CRÈVE-CŒUR
Chemin de Ruth 16
CH–1223 Cologny / Genève
Administration: +41 22 550 18 45
Réservations: +41 22 786 86 00

ATELIERS CRÈVE-CŒUR
Lieu des cours
Cologny
Renseignements: +41 22 550 18 45

CGV