Depuis plus de trente ans, ce duo à la ville comme parfois à la scène nous fait penser à un couple d’inséparables. Fusionnels au sens amoureux, chimique, voire nucléaire (!) du terme, ils se sont offerts ici une pièce (Couple ouvert à deux battants) qui vaut toutes les thérapies de couple. Comme lui l’expliquait un jour à L’Illustré, « Il n’y a pas un seul jour où on ne s’engueule pas, et c’est très sain ». On se réjouit.