Les Lives de Mélanie Croubalian avec les Muskatnuss (Nadège Allaki, Isabel Maret et Sophie Solo)

dimanche 14.5.23
Les Lives de Mélanie Croubalian

Depuis leur premier Joli foutoir, elles chantent Juliette, Nino Ferrer, Allain Leprest, Romain Didier, Les Frères Jacques, Quartet Buccal, Soviet Suprem, Phanee de Pool, Higelin ou Bourvil. Elles chantent la vie, le monde, notre époque. Mais si vous voulez savoir pourquoi elles ont choisi Muskatnuss comme nom de scène, c’est l’occasion ou jamais !

Les Lives de Mélanie Croubalian

Productrice de l’émission radio Le Grand Soir (RTS / La Première), Mélanie Croubalian n’a pas son pareil pour révéler la personnalité de ses invités. Anecdotes, confidences et complicité sont le sel de ses interventions. Pour cette troisième saison, elle va s’imposer un défi supplémentaire en invitant d’abord un artiste, puis deux, et enfin trois ! Rien que ça.

Entre devinettes, blind test d’archives et évocation d’expériences communes, Les Lives vous permettront de découvrir ces personnalités comme vous ne les avez sans doute jamais vues.

Bio express

Née à Montréal, scolarisée entre la Suisse (Choulex) et l’Égypte, Mélanie Croubalian est une lettrée diplômée de l’Université de Genève.
Après une période de nomadisme curieux, elle est entrée à la TSR / RTS. D’abord comme stagiaire animatrice, ensuite comme productrice de l’émission Tapis Volant, puis en tant que collaboratrice d’Un dromadaire sur l’épaule.
De 2012 à 2020, elle produit et anime Entre nous soit dit, une émission de grands entretiens sur La Première où elle reçoit à peu près tout le gratin que peut compter le petit monde francophone.

Depuis août 2020, du lundi au jeudi de 19h à 22h en direct sur La Première, elle produit et anime avec son équipe Le Grand Soir, un talkshow qui accueille chaque soir un grand invité et qui mélange dans une ambiance détendue jeux, chroniques, interviews, son divers et musique.

Les Lives commencent à 11h.

« Ce qui singularise surtout le tour de chant du trio, c’est son délicat parfum de soufre. (…) Irrésistible. »
La Tribune de Genève,
Katia Berger