Carte blanche à Brigitte Rosset

14.11 – 10.12.17

Complètement largué!

Par Pascal Chenu
16.1 – 11.2.18

Quelqu’un d’autre

De Valérie Poirier
6.3 – 1.4.18

L’Opéra dans tous ses états

de Davide Autieri et Leana Durney
24.4 – 6.5.18

Figaroh !

d'après Mozart et Beaumarchais
8.5 – 20.5.18

Les Diablogues

De Roland Dubillard
27.9 – 23.10.16

Deux petites dames vers le Nord

De Pierre Notte
15.11 – 11.12.16

Filles de Roi

De Claude-Inga Barbey
17.1 – 12.2.17

Erik Satie ou l’inconnu d’Arcueil

De Jean O’Cottrell
14.3 – 9.4.17

La valse du hasard

De Victor Haïm
25.4 – 21.5.17

C’est un solo, le cinquième. Un spectacle « sur mesure » où la comédienne genevoise jongle entre humour et poésie. En première suisse.

COMPLET !!!
Des listes d’attente sont ouvertes (exception faite du mercredi 29 novembre qui est une soirée privée sans liste d’attente) : 022 786 86 00. Sachez que ces listes sont déjà abondamment remplies et que nous vous appellerons uniquement si des places se libèrent. 

Durée du spectacle : 1h15

Chez nous, vous avez pu voir d’elle Suite matrimoniale, avec vue sur la mère, en 2009, et Smarties, Kleenex et Canada dry, en 2012 : deux spectacles qui ont cartonné sur les scènes de Suisse et de la Francophonie. Des one woman shows drôles, tendres, imprégnés d’une observation aigüe du quotidien.

Pour la troisième apparition de Brigitte Rosset sur la scène du Crève-Cœur, cette carte blanche s’annonce exceptionnelle. Une sorte de « digest » de son répertoire où elle fait renaître quelques personnages phares de sa galerie de portraits : avec Jean-Louis, Anne-Marie ou Saucisse, les retrouvailles promettent d’être aussi existentielles qu’émotionnelles.

Nourrie à l’école du café-théâtre, Brigitte Rosset fait désormais partie des comédiennes qui comptent, et ce quelque soit la scène sur laquelle elle se produit : du petit écran à La Comédie de Genève, du Théâtre de Carouge à sa web série autoproduite. Une palette qui a fait d’elle une « actrice exceptionnelle 2015 » selon l’Office Fédéral de la Culture.

Profitez-en, elle est unique.

Je ne suis pas un auteur, je suis une comédienne qui écrit.

Lire « Brigitte Rosset, l’autre c’est elle », Le Temps, 21.11.17 > ici
Lire « Brigitte Rosset se fait une semaine de « jeune » », La Tribune de Genève, 16.11.17 > ici
Écouter Vertigo 16.11.17 > ici

Co-production Cie Amaryllis 17 et Le Crève-Coeur

De et par Brigitte Rosset
Mise en scène Christian Scheidt
Collaboration artistique Sibylle Blanc
Lumières Thierry van Osselt
Scénographie Khaled Khouri
Construction Christian Métraux
Costumes Anne-Laure Futin

 

Galerie photos

Vingt histoires étonnantes pour raconter trente ans de carrière d’un musicien-chanteur-comédien, juste accompagné d’un piano à queue acoustique comme double artistique.

Durée du spectacle : 1h20

Le Genevois Chenu aime les mots. Les mots qui claquent. Les mots qui chantent. Les mots qui caressent. Auteur, compositeur, interprète, arrangeur, acteur, pianiste, improvisateur curieux, il est un artiste multiple, qui navigue entre l’écriture de ses propres textes et la création de spectacles musicaux autour d’auteurs qu’il admire (Ferré, Vian, Brassens, Nougaro, Renaud…).

Explorateur infatigable, Chenu cultive la poésie, la fragilité, le silence, la sincérité. « Moi j’suis pas cabot / pour jouer sur l’terrain / D’la culture en pot / en pot de chagrin / Je vois la culture / comme un vaste champ / Un terrain d’aventures / pour les grands enfants ».

Sur scène, il est un homme seul, naïf, perplexe qui « déchiffre » le monde, qui le regarde et l’interroge, cherche des repères, interroge son piano, le public. Dans un décor simple, minimaliste, il sera juste accompagné d’un Disklavier, un type de piano à queue mi acoustique mi technologique qui peut jouer seul parfois, lui envoyer de l’inspiration en balançant des papiers froissés, le provoquer…

Un tête à tête où l’instrument sert de confident à un personnage largué, en quête d’essentiel, d’humanisme, de spirituel.

En 2015, Chenu avait fait un carton ici-même avec son fameux Mambo Miam Miam ! Invitation chez Serge Gainsbourg.

des mots à colorier / des mots comme collier / perles pour jouer / comme un écolier…

Lire « Pascal Chenu, plus déchaîné que jamais » Le Temps – 25.01.18 – cliquer ici

 

Co-production Cie Le Piano Volant et Le Crève-Coeur

Textes, musique, arrangements et jeu Pascal Chenu

Mise en scène Annik von Kaenel

Lumières Dorothée Lebrun

Décor Eric Faugeron

Fabrication effets mécaniques Nicolas Schenkel

Texte de commande à Valérie Poirier, auteure phare du répertoire helvétique contemporain, ce Quelqu’un d’autre pourrait bien être n’importe qui.

Lire l’article « Au Crève-Cœur, les flèches d’un beau mélo » – Le Temps 14.03.18 > ici

Écouter l’interview de Valérie Poirier sur Radio Vostok – 8.03.18 > ici

 

Conquis par l’écriture de la Genevoise Valérie Poirier, lauréate du Prix suisse de théâtre 2017, Pietro Musillo lui a donné carte blanche pour écrire un spectacle sur le thème de l’« Autre ». Pas un autre éloigné, non, un autre qui, peut être, sommeillerait en nous depuis toujours. Un autre qui pourrait brutalement se manifester, faire irruption dans le parcours jusque là bien réglé d’une vie et provoquer un changement radical de repères, d’histoire, d’identité.

Pièce pour deux hommes et une femme, elle ausculte la trajectoire d’un être qui dévie au point de ne plus être reconnu par son entourage. Voire par lui-même. C’est un questionnement sur les identités plurielles qui fondent l’individu, un sujet qui fait le sel des textes de Valérie Poirier, elle qui brille par ses personnages un peu cassés et malmenés par la vie.

A l’occasion de son prix, Mathieu Menghini, membre du jury, avait souligné que « La Suisse, plus particulièrement la Suisse romande, a vu émerger peu d’auteurs de pièces de théâtre. Il est d’autant plus important et appréciable que Valérie Poirier relève ce défi depuis bientôt un quart de siècle ». Ce qu’on pourrait nommer un théâtre en marche, et dont il serait dommage de manquer le train.

Cette commande était l’occasion d’être au cœur d’un processus total de création en tant qu’initiateur, mais en complète ignorance de ce que serait le texte dans sa finalité.

Co-production Compagnie cap10 & Le Crève-Coeur

Mise en scène Pietro Musillo

Assistante à la mise en scène Christine-Laure Hirsig

Jeu Camille Figuereo, Christian Gregori, Pietro Musillo

Lumières Jean-Philippe Roy

Maquillage Arnaud Buchs

Costumes Eléonore Cassaigneau

Scénographie Pietro Musillo

Son Jean Faravel

Assistante de production Guiti Tabrizian

L’art lyrique et l’humour peuvent faire bon ménage. La preuve avec ce spectacle qui revisite avec brio quelques grands standards de l’Opéra.

Vous n’aimez pas l’opéra ? Alors ce spectacle vous fera peut-être réviser votre jugement. Vous l’aimez ? Tant mieux ! Et il n’y a aucune raison pour que vous changiez d’avis.

L’art lyrique et l’humour peuvent faire bon ménage. La preuve avec ce feu d’artifice vocal et musical qui met joyeusement l’opéra sens dessus dessous ! Que les puristes se rassurent : s’il passe par tous ses états, ou presque, l’opéra ne ressort pas moins en pleine forme de ce spectacle. Car le principe qui a guidé la création de celui-ci n’était pas de rire de l’art lyrique, mais de rire avec lui, avec ses codes. Opéra classique, romantique, opérette : L’Opéra dans tous ses états traverse allègrement trois âges de cet art séculaire, convoquant des compositeurs parmi les plus grands, de Mozart à Offenbach, enchevêtrant les œuvres, ne s’offrant aucun répit, empruntant par sa forme la légèreté et la convivialité du café-concert. Créé en 2011, il est le spectacle fondateur de la compagnie Comiqu’opéra et compte à ce jour près de 200 représentations.

On vous met au défi de ne pas repartir de là en fredonnant !

Plus d’informations sur comiquopera.ch

 

Durée du spectacle : 1h20

Production Cie Comiqu'opéra

Mise en scène Frédéric Mairy

Ecriture et jeu Davide Autieri, Leana Durney

Piano Lucas Buclin et Florent Lattuga (en alternance)

Lumières Faustine de Montmollin

Espace visuel et sonore Jean-Marie Liengme

Pièce de Beaumarchais ou opéra de Mozart ? Pour en découdre, deux duos de comédiens et chanteurs se disputent l’interprétation des Noces de Figaro. Un brillant exercice de style.

> Lire Tribune de Genève « Une jubilatoire joute oratoire » du 12.05.18 > ici

> Ecouter l’émission RTS-Vertigo du 7.05.18 – invitée : Leana Durney  > ici

Spectacles complets pour les réservations en ligne, mais il est encore possible de s’inscrire en liste d’attente au 022 786 86 00

 

De la pièce de Beaumarchais, écrite en 1778 et intitulée La folle journée ou Le mariage de Figaro, Mozart et son librettiste Lorenzo Da Ponte avaient tiré Les noces de Figaro. Près de deux cents cinquante ans plus tard, les troupes du Comiqu’opéra et de Sugar Cane s’unissent, non pas pour donner une suite à l’opéra, mais pour faire éclater l’énergie et la folie de ces deux pièces.

Dans ce Figaroh !, ils sont deux chanteurs lyriques, deux comédiens et un pianiste à endosser sept rôles (Figaro, Suzanne, Almaviva, Chérubin et quelques autres), chacun défendant, le temps d’une folle journée, les vertus de son art, chacun se moquant des codes de l’autre.

En remontant à la polémique ancestrale, est-on plutôt opéra ou théâtre ? Prima la musica, poi le parole ? Difficile de prendre parti tant cette pièce aux allures d’opéra-théâtre brouille les pistes avec virtuosité (tendez l’oreille aux gimmicks publicitaires dans la partition de Mozart) et modernité (on attend quelques guest stars inattendues…). C’est unique, mémorable et constitue au final un melting-pot assez génial.

Une confrontation hilarante entre chanteurs lyriques et comédiens

Durée du spectacle : 1h25

Co-production Cie Comiqu'opéra et Cie Sugar Cane

Mise en scène Frédéric Mairy

Jeu et conception Davide Autieri, Leana Durney, Mathias Glayre, Carine Martin

Piano Lucas Buclin et Guy-François Leuenberger (en alternance)

Lumières Faustine de Montmollin

Espace visuel et sonore Jean-Marie Liengme

Les Diablogues de Dubillard sont des trésors de drôlerie à la frontière du Théâtre absurde, de la poésie métaphysique et du cabaret. L’humour de ces petits duos est caustique et acide, mais plein de tendresse. A travers les personnages de Un et Deux, l’auteur nous présente les deux facettes d’un même individu en quête de sens, deux clowns beckettiens en équilibre précaire sur le fil des mots.

Les Diablogues de Dubillard sont des trésors de drôlerie à la frontière du Théâtre absurde, de la poésie métaphysique et du cabaret. L’humour de ces petits duos est caustique et acide, mais plein de tendresse. A travers les personnages de Un et Deux, l’auteur nous présente les deux facettes d’un même individu en quête de sens, deux clowns beckettiens en équilibre précaire sur le fil des mots.

Ils se cherchent, se confrontent dans des jeux où ils réinventent le langage pour mieux tenter de se comprendre. Ils nous font rire de nos faiblesses, mais parviennent aussi à nous toucher par la profondeur de leurs questionnements.

Après avoir monté au Crève-Cœur le « Dehors et le dedans » de Nicolas Bouvier en 1997, « Je suis un renifleur d’essentiel » de Bénédict Gampert en 2008 et « La nuit remue » de Henri Michaux en 2012, Patrick Mohr revient cette fois en tant que metteur en scène avec deux formidables acteurs romands Mathieu Delmonte et Diego Todeschini pour créer « Les Diablogues ».

Dans l’intimité unique de la scène du Crève-Cœur nous nous réjouissons de partager avec vous ces petites perles, légères comme des bulles de champagne, qui aident à mieux nous comprendre.

 

Télécharger le Dossier de presse (Pdf)

Lire l’article « Patrick Mohr transcende son théâtre de l’astuce » – Tribune de Genève 7.10.16  (Pdf)
Lire l’article « Roland Dubillard, doux farceur au Crève-Coeur » – Le Temps 15.10.16 (Pdf)
Lire l’article « Ping-pong métaphysique » – Le Courrier 19.10.16 (Pdf)

Dans le cadre de la Fête du théâtre, samedi 15 octobre après la représentation : bord de scène avec Patrick Mohr, metteur en scène et les comédiens Mathieu Delmonte et Diego Todeschini. Cliquer pour +d’infos

Par le Théâtre Spirale

Mise en Scène: Patrick Mohr. Jeu: Mathieu Delmonte et Diego Todeschini. Scénographie: Jean-Louis Perrot. Lumières: René Donzé. Bande son: Jacques Zürcher. Costumes: Marion Schmid. Production: Théâtre Spirale. Coproduction: Théâtre Le Crève-Cœur.

Elles sont deux, elles sont sœurs, et au décès de leur mère, elles décident de partir l’annoncer à papa, quelque part dans le nord. Elles vont vivre une succession d’aventures burlesques, sortes de clowns tristes et sensibles qui cherchent à s’étourdir dans une fuite en avant. Un road-movie drôle et libérateur aux saveurs de l’enfance.
En partant d’un sujet qui parle à tous, Pierre Notte écrit une pièce cocasse et déjantée qui évoque l’absurdité de l’existence.

ÉVÉNEMENTS !
Samedi 19 novembre : bord de scène en présence Pierre Notte
, auteur de la pièce, à l’issue de la représentation de 20h
Dimanche 20 novembre à 11h : rencontre avec l’auteur
dans le cadre du Brunch Crève-Cœur  +d’infos

Lire le dossier de presse (Pdf)

Lire l’avant-première dans Sortir-Le Temps (Pdf)

 

Elles sont deux, elles sont sœurs, et au décès de leur mère, elles décident de partir l’annoncer à papa, quelque part dans le nord. Elles vont vivre une succession d’aventures burlesques, sortes de clowns tristes et sensibles qui cherchent à s’étourdir dans une fuite en avant. Un road-movie drôle et libérateur aux saveurs de l’enfance.
En partant d’un sujet qui parle à tous, Pierre Notte écrit une pièce cocasse et déjantée qui évoque l’absurdité de l’existence.

Le dernier spectacle de la compagnie Lightmotiv a été créé en 2015 au Casino de Rolle. ‘Qui est Monsieur Schmitt ?’ de Sébastien Thiéry avec entre autres Patrick Lapp et Shin Iglesias. Alexandra Thys souhaite, àtravers le choix de ses mises en scène, transmettre que l’imagination, la poésie et l’humour aident à appréhender la vie avec un certain recul qui permet l’optimisme.

Pierre Notte est un auteur français né en 1969 à Amiens. Il est également acteur, metteur en scène, compositeur et journaliste. Ces pièces sont traduites et montées partout dans le monde. Il est aujourd’hui auteur associé et rédacteur en chef du Théâtre du Rond-Point Paris. Il a été nominé aux Molières à plusieurs reprises, dont en 2009 avec « Deux petites dames vers le Nord ».

 

 

Par la Cie Lightmotiv

Mise en scène: Alexandra Thys. Collaboration artistique: Shin Iglesias. Jeu: Shin Iglesias et Anne-Marie Yerly. Lumières: German Schwab. Vidéo, espace visuel: Laurent Valdès. Costumes: Isa Boucharlat. Maquillage: Katrine Zingg. Univers musical: German&Shin. Production: Cie Lightmotiv. Coproduction: Théâtre Le Crève-Cœur.

« Mon père est l’homme, plusieurs hommes, tous les hommes. Il m’a donné la folie, le goût des mots, l’amour de la beauté. Il est ma maison, mon gouvernail. Si un homme me courtise, qu’il soit aussi saisissant que mon père, sinon je n’en veux pas ». Deux sœurs, deux trajectoires de vie. Un duo sur mesure concocté par Claude-Inga Barbey pour Pascale Vachoux et Marie Probst.

« Mon père est l’homme, plusieurs hommes, tous les hommes. Il m’a donné la folie, le goût des mots, l’amour de la beauté. Il est ma maison, mon gouvernail. Si un homme me courtise, qu’il soit aussi saisissant que mon père, sinon je n’en veux pas ». Deux sœurs, deux trajectoires de vie. Un duo sur mesure concocté par Claude-Inga Barbey pour Pascale Vachoux et Marie Probst.

Au départ il y a deux comédiennes. Pascale Vachoux et Marie Probst. Il y a leur envie forte de retravailler ensemble  22 ans après. Au-delà de ce désir, un lien plus fort les unit, celui d’une filiation à deux figures du théâtre romand, Richard Vachoux et Jacques Probst, leurs pères.

Issues toutes les deux du monde des mots et de la poésie, imprégnées de milliers de sensations, d’impressions, de paroles, très vite s’est imposé à elles un point de départ: puiser dans leurs trajectoires de vie avant de glisser dans des vies imaginées. Leur choix, pour les accompagner dans ce processus de création, s’est immédiatement tourné vers Claude-Inga Barbey. Elle en signe la mise en scène.

En donnant carte blanche à Pascale Vachoux et Marie Probst, Le Crève-Coeur a le grand privilège de faire naître un projet original et unique. Ces deux comédiennes sauront vous emmener, entre réalisme et onirisme, au rythme des saisons, dans un récit subtil, drôle et émouvant.

 

A LIRE

  • Article Tribune de Genève 1.02.2017 – cliquer ici
  • Article Scènes Magazine février 2017 – cliquer ici (Pdf)
  • Article Le Temps  14.01.2017 « Filles de Roi. Un cadeau ou un poids » – cliquer ici
  • Dossier de Presse – cliquer ici
Par la Compagnie de l’Imaginaire Poétique

Mise en scène: Claude-Inga Barbey. Jeu: Marie Probst et Pascale Vachoux. Scénographie: Pietro Musillo. Lumières: Claire Firmann. Costumes: Trina Lobo, Marion Schmid. Maquillages: Arnaud Buchs. Production: Compagnie de l’Imaginaire Poétique. Coproduction: Théâtre Le Crève-Cœur.

Sur scène, un piano et deux comédiens: Samir Dib, comédien-pianiste, incarne Erik Satie; Yannick Rosset, lui, incarne ses amis fidèles: Debussy, Picasso, Cocteau, Braque. Satie se raconte, rejoue sa partition, se confronte à ses choix. Bercés par sa musique, découvrez cet être hors du commun.
Erik Satie (1866-1925) fut l’un des compositeurs les plus influents et les plus passionnants du début du siècle, par sa musique et sa personnalité fantasque. Au-delà du témoignage d’une époque fascinante et déterminante de notre histoire, cet homme d’esprit, parfois mal connu, nous amène à réfléchir sur la place de l’artiste, de l’Art et de l’homme dans notre société.

Sur scène, un piano et deux comédiens: Samir Dib, comédien-pianiste, incarne Erik Satie; Yannick Rosset, lui, incarne ses amis fidèles: Debussy, Picasso, Cocteau, Braque. Satie se raconte, rejoue sa partition, se confronte à ses choix. Bercés par sa musique, découvrez cet être hors du commun.

Erik Satie (1866-1925) fut l’un des compositeurs les plus influents et les plus passionnants du début du siècle, par sa musique et sa personnalité fantasque. Au-delà du témoignage d’une époque fascinante et déterminante de notre histoire, cet homme d’ esprit, parfois mal connu, nous amène à réfléchir sur la place de l’artiste, de l’Art et de l’Homme dans notre société.

Cet être discret, rieur et mélancolique a su masquer sa pauvreté, qu’il appelait “la petite fille aux grands yeux verts’’, et a défendu farouchement, toute sa vie, sa liberté artistique. Passionné de peinture, il a contribué activement, à travers son œuvre, aux bouleversements artistiques de l’époque, où il dessinait, déjà, les contours de la musique contemporaine.

Plongeons avec Braque, Debussy, Cocteau, Ravel, Picasso, Cendrars. Levons le voile sur “le bon maître d’Arcueil’’, sur ce génie décalé, spirituel, inclassable et sur son œuvre éclectique et fertile.

 

Lire l’article Publikart.net du 20.03.17 (Pdf)
Lire Le Matin Dimanche du 19.03.17 (Pdf)
Lire Le Dauphiné Libéré du 12.03.17 (Pdf)

 

Lire le Dossier de Presse (Pdf)

 

 

 

Par la Fox Compagnie

Musique: Erik Satie. Mise en Scène: Céline Sorin. Jeu: Samir Dib et Yannick Rosset. Piano: Samir Dib. Lumières: Arnaud Viala. Scénographie: Daniel Martin. Costumes: Marie-Ange Soresina. Production: Fox Compagnie. Coproduction: Théâtre Le Crève-Cœur.

La femme: C’est amusant comme tout !
L’ange: Vous carburez bien ! Ne perdons pas le rythme ! La femme: Je vous attends de cerveau ferme ! L’ange: C’est parti. J’inscris zéro sur le tableau et on attaque. Votre vie, du début. La femme: L’enfance ? L’ange: La prime enfance ! La femme: Comme vous y allez mon cher ! L’ange: Pas de souvenirs de seconde main, s’il vous plaît ! Seulement ce qui est indélébile dans votre jolie caboche. La femme: Quand l’accoucheur a tiré sur ma frimousse il a été ravi… je lui ai mordu un doigt. L’ange: Bien. Dix points.

La femme: C’est amusant comme tout ! L’ange: Vous carburez bien ! Ne perdons pas le rythme ! La femme: Je vous attends de cerveau ferme ! L’ange: C’est parti. J’inscris zéro sur le tableau et on attaque. Votre vie, du début. La femme: L’enfance ? L’ange: La prime enfance ! La femme: Comme vous y allez mon cher ! L’ange: Pas de souvenirs de seconde main, s’il vous plaît ! Seulement ce qui est indélébile dans votre jolie caboche. La femme: Quand l’accoucheur a tiré sur ma frimousse il a été ravi… je lui ai mordu un doigt. L’ange: Bien. Dix points.

Deux personnages, un homme et une femme, deux pions tour à tour séducteurs et manipulateurs, nous entraînent dans un duel passionnant où se mêlent humour et subtilité. Quelles en sont les règles ? Aucune. L’enjeu est clair, l’éternité. Décalée, grinçante, drôle et cruelle, cette valse nous offre un regard sans complaisance sur nos petits arrangements avec la vie, avec les autres.

«Pourquoi recevrait-on dans l’au-delà des réponses moins absurdes que celles d’ici-bas ?» Et si Victor Haïm avait raison ? Quelle est la part du vrai, du faux, de la réalité, du fantasme ? Cette pièce nous invite à relativiser nos actes et à rire de nous-mêmes.

Lauréat de nombreux prix, dont un Molière en tant que meilleur auteur francophone vivant et le Grand Prix du Théâtre de l’Académie Française pour l’ensemble de son œuvre, Victor Haïm vit actuellement à Paris et ses pièces sont traduites et jouées dans le monde entier.

 

Lire le Dossier de Presse (Pdf)

Durée du spectacle : 1h25
Age de préférence : adultes et jeunes à partir de 14 ans environ

Par le Théâtre du Marais

Mise en scène: Antony Mettler et Anne Vaucher. Jeu: Christian Gregori et Maria Mettral. Lumières: René Donzé. Décors et costumes: Antony Mettler et Christian Gregori. Coproduction: Théâtre Le Crève-Cœur. Production: Théâtre du Marais.

THÉÂTRE LE CRÈVE-CŒUR
Chemin de Ruth 16
CH–1223 Cologny / Genève
Administration: +41 22 550 18 45
Réservations: +41 22 786 86 00

ATELIERS CRÈVE-CŒUR
Lieu des cours
Cologny
Renseignements: +41 22 550 18 45

CGV